Normalement, cela n’est possible mais dans le même temps, elle n’est pas vraiment garantie. Par exemple, celui qui a promis de donner après sa mort n’a pas le droit de donner à d’autres, mais il peut tout de même vendre.
Aussi, en cas de divorce, le bien ne peut aller à celui à qui l’on a reconnu les torts. L’autre conservera seul le bénéfice de la donation. On peut donc imaginer qu’un bien promis par le père de la femme aille ainsi au marie et vice versa , échappant de fait au propre enfant du donateur.
A lire aussi :
- Que faire, si avant le prononcé du divorce, vous êtes enceinte d’un autre homme ?
- Une femme séparée de son mari peut-elle déclarer son enfant sous son nom de jeune fille ?
- Est-ce intéressant de souscrire une assurance-vie pour un enfant handicapé ?
- A qui sont versées les prestations familiales en cas de divorce ou de séparation ?
- Qui doit assumer la charge de chercher et reconduire l’enfant ?
- Peut-on revenir sur une formule de garde même acceptée au cours d’un divorce ?
- Quels risques financiers si vous vous portez caution pour votre enfant majeur ?
- Est-il possible d’empêcher son enfant titulaire du permis B d’utiliser sa voiture ?
- Un parent peut-il décider de l’IVG pour sa fille mineure enceinte ?
- Si votre enfant fugue, est-ce un délit ?