L’avortement est globalement reconnu comme une avancée et une liberté pour les femmes de disposer de leur corps et de choisir ou non d’enfanter.
En effet, toute femme mineure doit disposer de l’autorisation de ses parents , tuteurs légaux ou de celle d’un juge des enfants afin de procéder à une interruption volontaire de grossesse, plus connue sous le nom d’IVG.
Outre celui de ses parents, la mineure devra également donné son consentement par écrit, et ce sans la présence de son entourage pour garantir que cela a bien été sa décision.
Sachez par ailleurs que cette même autorisation était requise pour l’accès à la contraception des mineures, mais celle ci s’est vue supprimée en 1974.
A lire aussi :
- Que faire, si avant le prononcé du divorce, vous êtes enceinte d’un autre homme ?
- Une femme séparée de son mari peut-elle déclarer son enfant sous son nom de jeune fille ?
- Est-ce intéressant de souscrire une assurance-vie pour un enfant handicapé ?
- A qui sont versées les prestations familiales en cas de divorce ou de séparation ?
- Qui doit assumer la charge de chercher et reconduire l’enfant ?
- Peut-on revenir sur une formule de garde même acceptée au cours d’un divorce ?
- Quels risques financiers si vous vous portez caution pour votre enfant majeur ?
- Est-il possible d’empêcher son enfant titulaire du permis B d’utiliser sa voiture ?
- Un parent peut-il décider de l’IVG pour sa fille mineure enceinte ?
- Si votre enfant fugue, est-ce un délit ?